Handisub : une nouvelle pierre à l'édifice

De nouvelles avancées pour le plongeur atteint de handicap mental ou de troubles psychiques (FFSA)

Conformément à la convention liant les deux fédérations, la Fédération française du Sport Adapté (FFSA) et la FFESSM, signée le 14 janvier 2012 par Jean-Louis Blanchard et par le président de FFSA à ce moment là (Yves Foucault) et qui mentionne :

  • à l’article 3, que certains plongeurs en situation de handicap (PESH) mental, psychique, cognitif (MPC) pourront avoir accès à l’espace 0 à 20 mètres,
  • à l’article 5, que la commission mixte paritaire travaille sur les critères conditionnant l’ouverture des espaces de plongée en scaphandre au-delà de 6 mètres.
  • à l’article 2, que les médecins fédéraux nationaux et leurs représentants émettent des recommandations sur les critères médicaux permettant de délivrer le certificat médical d’absence de contre-indication (CACI) pour autoriser la plongée en scaphandre à une profondeur supérieure à 6 mètres.

Il a été décidé que :

La plongée en scaphandre, (pratiquée par des plongeurs dont le type de handicap est défini dans le champ délégataire de la FFSA) est autorisée, à ce jour et sous certaines conditions, au-delà de 6 mètres et jusqu’à 12 mètres au maximum. Ces conditions sont définies dans le nouveau document signé. Elles concernent le plongeur PESH MPC et l'esprit de ces plongées, le médecin et le certificat médical d'absence de contre-indication, l’encadrement technique de la plongée.